L’espace culturel Jacques-Brel était plein ce mardi 10 mars pour le meeting d’Amitis Messdaghi, candidate de l’union des forces de gauche à Mantes-la-Ville. Le Premier secrétaire Olivier Faure s’y est rendu pour exprimer le soutien du Parti socialiste à sa liste de rassemblement.

La liste « Printemps de Mantes-la-Ville », qui rassemble des socialistes, des écologistes et des communistes, propose de rendre la commune durable en investissant dans l’avenir au service des habitants. Cet avenir, c’est la durabilité environnementale du programme, mais aussi la volonté d’Amitis Messdaghi de mener une politique de redynamisation du centre-ville, de protection des femmes dans l’espace public, en répondant aux besoins d’une meilleure sécurité, et de services publics plus proches des Mantevillois. Le tout en permettant une politique d’inclusion sociale, à travers la culture, le logement, et l’école. Ses colistiers et elle ont ainsi défendu un programme écologiste, social et féministe, aux côtés de nombreux soutiens extérieurs à la commune. 

L’enjeu est en effet de taille : en 2014, le Front national avait gagné la mairie dans le cadre d’une quadrangulaire. Le bilan de la mairie sortant est désastreux pour les habitants, et le parti d’extrême droite se perd en mensonges dans la réalité de ses résultats. Il s’agit aujourd’hui de reconquérir la ville pour la remettre au service de tous les Mantevillois et toutes les Mantevilloises.  

Dans ce contexte, Olivier Faure a rappelé la nécessité de l’union des forces de gauche. Les Mantevillois.e.s sont effectivement unis dans ce combat, incarnant la possibilité de notre regroupement nécessaire. 

« J’aimerais que vous soyez les ambassadeurs et ambassadrices de cette union-là, que vous puissiez raconter partout [...] comment vous avez choisi de vous allier les uns aux autres, comment vous avez fait le choix, non pas de l’égoïsme, mais celui du vivre-ensemble » a ainsi proclamé le Premier secrétaire.

Car au-delà de la simple arithmétique électorale, aujourd’hui, la question sociale ne peut être distinguée du défi écologique, et seule la gauche est capable d’incarner et de mettre en œuvre les solutions nécessaires.

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