Thème : Féminisme
Il suffira d’une crise" pour que les droits des femmes soient remis en question, écrivait Simone de Beauvoir. Ces dernières années confirment malheureusement ce constat prophétique. La crise sanitaire a mis en lumière l’ampleur des violences domestiques. Les femmes ont aussi été en première ligne contre le virus, avec des professions du care surexposées et très largement féminines (infirmières, caissières, garde d’enfants, métiers du secteur social…). Les doubles journées (travail et travail domestique) se sont muées en triple journées avec la charge de la garde d’enfants en journée et l’école à la maison. Éprouvant pour de nombreuses femmes qui ont continué à assumer la très large majorité des tâches domestiques et familiales, cette période a été proche de mission impossible pour les familles monoparentales, dont le parent est une femme dans 80 % des cas.
Accompagnant la crise de la mondialisation libérale, les inégalités patrimoniales se creusent et, au sein de celles-ci, les inégalités femmes-hommes en particulier. Les inégalités salariales femmes-hommes ont cessé de se réduire en France (les femmes ont travaillé « gratuitement » un jour plus tôt en 2021 qu’en 2020).
La crise des services publics fragilise en particulier les territoires périurbains et ruraux hors des grandes métropoles et les quartiers populaires en leur sein. En moyenne plus précaires et moins mobiles (accès au permis de conduire, au véhicule familial quand il y en a un), ce sont en particulier les femmes qui pâtissent de la baisse de l’offre de transports publics et de la désertification médicale qui frappe ces territoires.
1,7 million de femmes, précaires, sans domicile, étudiantes sont victimes de précarité menstruelle, due notamment à l’absence d’accès aux sanitaires et au coût élevé des protections. Il est impératif d’avancer vers la gratuité de ces protections hygiéniques pour toutes, comme le font déjà plusieurs départements de gauche.
Les quelques récentes victoires obtenues comme l’allongement des délais d’IVG ne doivent pas occulter le fait qu’elles ont été obtenues de haute lutte et grâce à la détermination de femmes politiques comme la sénatrice socialiste Laurence Rossignol, contre l’avis du gouvernement en place. Et la période politique qui s’ouvre n’incite pas à l’optimisme.
Alors que ce droit est remis en cause partout dans le monde, et qu’en France encore son accès est parfois rendu difficile (notamment pendant la crise sanitaire) par manque de structures ou de praticiens, nous devons garantir à toutes les femmes l’accès à l’IVG. Nous devons le garantir d’abord et avant tout en inscrivant la protection de ce droit fondamental dans la Constitution afin que nul ne puisse y porter atteinte. Nous devons continuer à porter ce combat alors que la droite au Sénat a rejeté une proposition de loi allant dans ce sens, et portée par les sénatrices et sénateurs de gauche en octobre 2022. A l’heure où les femmes iraniennes et afghanes résistent à l’oppression dont elles font l’objet, à l’heure où l’Europe fait face à l’arrivée de l’extrême-droite aux responsabilités en Italie, qu’elle soutient pour la première fois un gouvernement en Suède et qu’elle s’ancre au cœur des institutions de notre pays, avec près de 90 parlementaires à l’Assemblée nationale dont deux vice-président.e.s, la lutte pour l’égalité femmes-hommes doit être une priorité nationale.
Fortes d’une « expertise d’expérience », les femmes sont les premières à se battre sur ces sujets, y compris en politique. Les nombreuses jeunes femmes en première ligne sur les questions féministes ou dans les marches pour le climat témoignent en outre de l’engagement d’une génération qui est un espoir pour la gauche. Les femmes restent pourtant largement sous- représentées en politique et en particulier lorsqu’elles sont issues des classes populaires, de l’immigration ou bien porteuses de handicap.
Un coup d’arrêt vient en outre d’être porté à la progression du nombre de femmes dans nos enceintes politiques qui avait été permise par les lois sur la parité sous Lionel Jospin : pour la première fois depuis 1988, les femmes sont moins nombreuses à l’Assemblée nationale que lors de l’élection précédente. Quant aux socialistes, les femmes sont passées de 50% du groupe à 30%. Une fois de plus, à l’instar d’autres échéances électorales comme les élections régionales, les femmes ont été la variable d’ajustement des accords politiques. Cela doit cesser.
Notre collectif porte une refondation féministe pour notre parti qui doit s’articuler autour de plusieurs axes :
- Faciliter l’engagement des femmes au sein du parti qui est chronophage quand le temps est la ressource rare pour de nombreuses femmes (adapter les horaires et formats de réunion - physique ou dématérialisé - qui permettent la participation du plus grand nombre, développer des accueils pour les jeunes enfants aux événements du parti, systématiser dans toutes les instances l’alternance femmes-hommes dans les prises de parole…), permettre dans nos statuts les binômes paritaires à tous les échelons du parti et l’imposer pour le poste de Premier secrétaire.
o Exiger une parité sur les circonscriptions gagnables et ne plus faire des femmes socialistes la variable d’ajustement dans les scrutins de liste. L’approche suivie aujourd’hui, celle d’une parité de façade visant essentiellement à ne pas payer d’amende, laisse les meilleures circonscriptions aux hommes et suscite des pratiques insultantes comme celles de « candidatures de paille » de camarades femmes. Il faudra désormais nommer (et en rendant obligatoire dans nos statuts) un.e responsable aux élections qui veille dans les négociations à ce que tout accord électoral respecte cette exigence et présente les données sur les perspectives de victoire par circonscription et la répartition F/H de celles-ci en bureau national, assurer sur les scrutins de listes qu’il y ait autant d’hommes que de femmes socialistes élus. Aucun accord électoral ne satisfaisant à ces exigences ne pourra être ratifié. Il s’agit aussi d’imposer une limitation des mandats dans le temps à 3 mandats consécutifs et d’aller plus loin sur la limitation du cumul des mandats.
o Instaurer un quota de candidatures de personnes en situation de handicap pour contribuer à en faire un sujet présent dans le débat public. Les femmes en situation de handicap sont particulièrement invisibilisées (elles sont par ailleurs les premières victimes de violences sexuelles).
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La lutte contre les violences sexuelles en interne au PS est une pierre angulaire de ce projet, alors que le sexisme et les violences restent un outil de domination qui a pour objet de maintenir les femmes « à leur place », c’est-à-dire en dehors de ces institutions majoritairement masculines. Au-delà de la commission interne au PS qui devra être pérennisée, avoir les moyens de fonctionner et pouvoir prononcer des sanctions comme l’absence d’investiture ou l’exclusion du parti, les fédérations devront assurer, avec l’appui déterminant du réseau des formateurs national et d’associations spécialisées, la formation de leurs cadres à la lutte contre le sexisme et contre les violences sexistes et sexuelles (réception de la parole des victimes notamment). Tous les militants et en particulier les nouveaux militants recevront le livret d’accueil qui intégrera des éléments d’information et de formation à ces aspects. Les frais de justice des militantes agressées par un membre du parti seront pris en charge. Les instances nationales du PS devront par ailleurs demander la démission immédiate de tout.e socialiste condamné.e pour violences sexuelles ou sexiste.
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Préparer un nouvel acte pour la parité en politique et la lutte contre les violences sexistes et sexuelles en politique au niveau national, en *ciblant notamment les échelons où les exigences sont inexistantes à ce stade : les intercommunalités et la tête des collectivités. Seules 20% des maires sont des femmes, seules 10% des président.e.s d’intercommunalité sont des femmes, à peine 30% des communes sont concernées par les règles de parité et les femmes ne représentent qu’un tiers des élu.e.s des communes de moins de 1 000 habitant.e.s. Le Haut Conseil à l'Égalité entre les femmes et les hommes (HCE) recommande notamment d’instaurer la parité dès le premier habitant dès que possible. Par ailleurs, un mécanisme de remplacement des élues en congé maternité doit absolument être instauré.
Par ailleurs, nous continuerons à défendre les propositions développées par notre formation politique ces dernières années et portées par Anne Hidalgo lors des élections présidentielles 2022, au premier rang desquelles la lutte acharnée contre les stéréotypes de genre, les violences sexuelles et les inégalités économiques.
Agir pour l’égalité suppose de lutter contre les stéréotypes de genre.
C’est la pierre angulaire qui détermine les progrès dans tous les autres domaines : égalité professionnelle, lutte contre les violences sexistes et sexuelles, lutte contre les discriminations liées au genre et le sexisme. Cela passe par la prévention de ces inégalités et par l’éducation dès le plus jeune âge. Plusieurs mesures peuvent d’ores et déjà être mises en avant :
- L’éducation au consentement doit faire l’objet d’enseignements spécifiques à l’école dans le cadre de véritables cours d’éducation sexuelle qui devront bénéficier effectivement du nombre d’heures prévues par la loi.
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Rendre obligatoire une formation initiale systématique pour tous les personnels éducatifs et sociaux sur la question du genre, des stéréotypes de genre, des violences sexistes et sexuelles, du cyber-sexisme, et assurer une représentation des femmes ne véhiculant pas de stéréotypes de genres dans les manuels scolaires.
L’égalité professionnelle et salariale est encore loin d’être acquise.
La revalorisation du travail doit concerner en particulier le travail féminin, qui se concentre dans des métiers moins rémunérés.
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Augmentation du SMIC de 200 euros nets, ce qui bénéficiera pour deux tiers à des femmes, surreprésentées dans les métiers peu rémunérés.
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Pour augmenter les salaires, en particulier dans les métiers féminins, engager des négociations dans les branches professionnelles (métiers du lien, du soin, de l'enseignement, de la petite enfance, du nettoyage, caissières, services à la personne...).
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Inverser la charge de la preuve sur les discriminations salariales femmes-hommes au sein des entreprises. Ce sera à l’entreprise de prouver qu’elle n’est pas coupable de discrimination en matière de salaires, sous peine de sanctions, comme dans certains pays européens.
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Instaurer un minimum contributif et s’opposer aux projets de réforme de retraite qui pénaliseraient en premier lieu les femmes. Les femmes ayant eu des carrières plus hachées se retrouvent aujourd’hui avec une pension de misère à l’âge de la retraite.
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Engager un travail sur la mesure de la pénibilité du travail et en particulier du travail féminin, moins visible, pour permettre des départs anticipés à la retraite.
En outre, le nombre de familles monoparentales (85% de femmes) est en augmentation du fait de la hausse des séparations. D’après l’INSEE, 12,5% des femmes tombent dans la pauvreté après une séparation.
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Création d’un statut pour les familles monoparentales, qui ouvrira des droits spécifiques : possibilité d'adaptation d'horaires et télétravail en entreprise, gratuité des frais de justice concernant les impayés des pensions alimentaires et fin de l'imposition de celles-ci, création d’une allocation "parent isolé", tarifs d’accès à la cantine minorés, carte famille monoparentale pour les loisirs, accès à un logement social prioritaire sous condition de ressources etc.
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Hausse de l’indemnisation du congé parental et campagne nationale de sensibilisation auprès du grand public et des entreprises.
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Allongement du congé paternité (ou congé 2e parent) à 16 semaines, dont 8 obligatoires, comme en Espagne.
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Création d’un service public de la petite enfance, où chaque famille bénéficierait du droit opposable à un mode d'accueil pour son enfant, à l'issue des congés légaux des parents et jusqu'à son entrée à la maternelle, et à défaut une aide financière pour compenser le coût d’une garde à domicile ou par un assistant maternel.
Lutte contre les violences sexistes et sexuelles
Le budget de l’État devra allouer un milliard à la lutte contre les VSS pour conforter l’action des services publics (police, justice, hôpitaux) et des associations.
Police et accueil des victimes
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Création de centres d’accueil spécialisés sur tout le territoire, ouverts 24h sur 24 où un personnel spécialisé (médical, juridique, psychologique, interprète pour les personnes étrangères) reçoit, oriente et conseille les victimes, dans un cadre plus accueillant qu’un commissariat. Les victimes doivent pouvoir y bénéficier des prélèvements médicaux nécessaires et décider ou non de porter plainte. Un officier de liaison doit être désigné pour suivre chaque victime et l’informer de l’avancée de la plainte puis en cas de condamnation, l’informer avant la libération du condamné.
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Multiplier sur tout le territoire les haltes de jour et de nuit dédiées aux femmes en situation de rue, particulièrement victimes de violences sexuelles.
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Plus de moyens pour la police pour leur permettre, en lien avec l’Aide Sociale à l’Enfance notamment, de lutter contre la prostitution des mineures qui ne cesse d’augmenter.
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Renforcement de la loi abolitionniste de 2016 avec une hausse des financements nécessaires à son application, accentuer la lutte contre le proxénétisme, augmenter l’accompagnement social des victimes vers la sortie de la prostitution. Pour les personnes étrangères engagées dans un parcours de sortie de la prostitution et d’insertion, une carte de séjour doit leur être délivrée. Promouvoir ce modèle abolitionniste dans le cadre d’une diplomatie féministe.
Justice pour les victimes
Alors que la France a été épinglée par le Conseil de l’Europe pour son trop faible taux de condamnation des agresseurs sexuels, nous devons :
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Mettre fin à la correctionnalisation des crimes. Alors que les associations estiment que 80% des procès pour viols seraient jugés en correctionnelle, et non devant une cour d’assises, ce qui implique une forte hausse des moyens de la justice.
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Rendre automatique la suspension de l’exercice de l’autorité parentale pour le conjoint reconnu coupable de violences intrafamiliales pour protéger la personne victime de violences, mais aussi pour protéger les enfants témoins.
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Mettre en place des tribunaux et des brigades spécialisés dans la lutte contre les violences sexuelles et sexistes, comme en Espagne, pour permettre une meilleure efficacité des mesures de protection des femmes victimes.
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Renforcer le système d’ordonnance de protection avec un allongement de sa durée, un renouvellement facilité et une aide juridictionnelle de droit pour les victimes de violences conjugales.
Contribution du Laboratoire des idées de Refondations
Les signataires :
Anne Hidalgo, Maire de Paris (75)
Assouline David, sénateur (75)
Mehdi Benlahcen, Membre du CA de Français du Monde (FFE)
Florence Blatrix, sénatrice (01)
Marie-Anne Chapdelaine, ancienne députée (35)
De la Gontrie Marie-Pierre (75)
Delimi-Tsubouchi Halima, ancienne candidate PS législatives (74)
Durand Anne, secrétaire de section (44)
Féraud Rémi (75)
Fita Claire, VP Région Occitanie
El Aaraje Lamia, conseillère de Paris, ancienne députée (75)
Fadat Cécile, Maire-adjointe (87), Jean-Marc
Germain Jean-Marc, VP groupe socialiste conseil régional Ile-de-France, membre du BN
Goujon Charlotte, Maire de Petit-Quevilly, membre du CN (76),
Hakni-Robin Béatrice, maire-Adjointe Rennes, secrétaire fédérale et de section (35), Mayer-Rossignol Nicolas, Maire de Rouen (76),
Nedellec Marie, Maire-Adjointe La Rochelle (17),
Prieur Pierre-Arnaud, conseiller municipale délégué (76)
Prevost Cathy, adhérente (76),
Timothée Remy, adhérent jeune socialiste (51)
Ripol Christelle, adhérente (66),
Riquier Nathalie, adhérente (75)
Soubelet Cécile, secrétaire section Issy-les-Moulineaux, SF (92)
Tabary Sandra, membre de la CNC (33)
Vidal Margaux, Secrétaire fédérale (69)
Vizioz-Brami Camille, conseillère Paris 9 (75)
Akkari Maya, Conseillere de Paris
Alazard-Schneider Elisabeth, conseillère municipale
Algrain Eric, 1er adjoint au Maire du 10e arrondissement de Paris
Amiel-Donat Céline
Amorim Da Silva Fernando
Anquetin Benoit, Maire
Archier Olivier, adhérent
Assailly Sébastien, Conseiller municipal, membre du Conseil Fédéral des deux sevres
Aston Florence
Aubert Philippe, Président du BFA Loire-Atlantique
Avenel Marc, Secrétaire de section Sotteville-lès-Rouen
Avril Catherine
Ayache Patrick
Azaïs Christine
Baillon Florence
Banquet Régis, Maire d’Alzonne, President Carcassonne Agglo
Baraillé Julien, Conseiller Régional Occitanie, Secrétaire Fédéral du Parti Socialiste 66
Baré Michèle
Baudry Bruno
Beaud Laurent, VP Office de tourisme et des congrès Montpellier Méditerranée Métropole
Begue Guy Conseiller municipal, secrétaire de sectio, membre du CF 64
Belaggoune Hamid, Adjoint au maire de Grand-Couronne - Secretaire de section
Belamich Monique
Belhani Abdelhafid, Adhérent
Belloir Tom
Belmokhtar Ouarda
Belotti Magali
Benasseur Louise, Membre du bureau de la section sud-est de Rennes
Berbra Mohamed, Élu
Berot Sébastien, conseiller communautaire
Bertincourt Pascal, adhérent
Besnard Antoine Trésorier, Élu étudiant à l'Université de Rouen Normandie
Bethencourt Sonia, Conseillère municipale, membre du CF
Bluche Pierre, Animateur régional AGIRabcd
Bochkovitch Dominique, Secrétaire de section Montpellier 2
Bohême Florian, Conseiller Assemblée des Français de l'étranger
Boineau Cyril, 1er adjoint commune d'Erp
Boittout Liliane, trésorière
Boizot Emma
Boquié Élise
Borra Jean-Philippe
Bory Anthony
Bossis Catherine, Conseillere regionale (occitanie)
Botella Laure, secrétaire de section de Herblay-sur-Seine
Boulanger Mélanie Maire, Conseillère régionale
Bracque Olivier
Brahim Taoufiqui
Brasse Matthieu, Conseiller régional de Normandie
Brun Jean - Luc
Bruyere Daniel, Secrétaire de section Montrouge, secrétaire fédéral
Bryce Minger
Buisson Philippe, Conseiller municipal Délégué
Bussy Martin, Adjoint Maire Paris 20e
Cabrol Arnaud
Cahuzac Philippe, Maire
Caillot Thomas, Secrétaire de section PS d’Elbeuf, adjoint au maire d’Elbeuf, conseiller Metropole Rouen Normandie, président Mission Locale de l’agglomération d’elbeuf
Carlier-Misrahi Danièle
Cartignies Jacques Auc
Cartignies Sylvie
Casaert Philippe, militant section Rouen
Casaert Françoise
Castellani Alain
Cavaliere Noel, Secrétaire de section de Paris 5ème arrondissement
Cedric Andrie
Chabrerie Verger Annie -
Chalmel Paul
Chanael Feldman
Chanal Béatrice
Chanal Jean Patrick
Chapdelaine Morgane
Chappé Fanny, Maire de Paimpol
Charret-Godard Océane, VP Conseil Régional BFC/Conseillère municipale Dijon
Charrier Christelle, élue municipale
Chaudouet Mahaut
Chekhemani Kader, Adjoint au Maire de Rouen
Cheno Laurent
Chéreau Frédéric, Maire de Douai
Cherichi Alexandre
Cissakho Ousmane, Conseiller Municipal, conseiller fédéral, trésorier fédéral
Cohen Maxime, BF 75
Colle Michele
Combes Françoise
Confais Franck, Secrétaire de section
Coque Philippe, Conseiller municipal
Corsia Jean - Pierre, Adjoint au maire de Paris 11
Cosnard-Lussot Évelyne
Couraud Geneviève, membre du CN
Cressy Jean-Paul, ancien adjoint au Maire de Sotteville lès Rouen, militant syndical
Dallet Antoine, Conseil fédéral
Dargère Lubin
Daviaud Jean-Philippe, Conseiller de Paris
Daumas Robert, Conseiller municipal
De Calbiac Marine
De Cintré Christine, ELUE VILLE DE ROUEN ET METROPOLE ROUEN NORMANDIE
De Launay Laurent
De Nodrest Stéphan
De Tarlé Aymeric, Conseiller Mairie XIe
De Temmerman Jennifer, Conseillère régionale Hauts de France
De Thezillat François
Debat Jean-Francois, Maire du Bourg-en-Bresse
Decaux-Tougard Françoise, Conseillère municipale Grand -Quevilly
Decorde Vincent, Conseiller municipal Roncherolles sur le vivier, trésorier de section, président de la commission fédérale de contrôle
Defour Alain -
Dejeans Monique, secrétaire section Luxembourg
Delafosse Jean-Marie, Adjoint au Maire honoraire
Delaunay Lucien, Administrateur association Emergences (Rouen)
Delesque Ludovic, Conseiller régional Normandie
Deneuve Dimitri
Derivière Thérèse
Dervil Caroline, Adhérente
Devigne Nicolas, Membre du CF
Diallo Tacko, Conseillère départementale, Conseillère municipale déléguée, secrétaire de section PS Petit-Couronne
Diallo Mamadou, Conseiller municipal délégué, secrétaire national Francophonie , membre BN
Dolphens Clement, Trésorier PS elbeuf
Donat Céline
Drouet Thibaut, conseiller municipal
Dubecq Monique
Dubois Gaëtan, Délégué Syndical National CFE-CGC
Dubreil Loïc
Duchaussoy Vincent, membre du CN
Dumontet Valérie VP Departement de l’Aude
Dunet Christine Adjointe au maire de Grand Quevilly
Dutarte Caroline, Conseillere départementale du canton de Rouen3, 1ere adjointe au Maire de Rouen
El Manoguy Yohan
Elshoud Mélina, Secrétaire nationale
Eudeline Josiane
Fagnen Sébastien, Maire délégué
Faucherre Antoine Néant
Faucon Mejean Claudie, Maire de Bram et conseillère régionale Occitanie
Feldman Chanaël
Feron Christelle, Adjointe au Maire
Filleul Martine, Première fédérale Nord
Fléchelles Noah
Forcuit Benoit
Forest Frédéric
Fournet Richard
Foutel François, bureau de section Grand-Couronne
Frottier Laurent
Fussien Laurent, Conseiller municipal délégué à l'économie de Sotteville-lès-Rouen
Gabelotaud Afaf, Maire-Adjointe Paris
Gadhi Mehdi
Gaelle Barre, Conseillère des Français de l'étranger
Galand Michel
Garreau Zelloufi Virginie
Geissmann Céline, Conseillère municipale et eurométropolitaine de Strasbourg, Secrétaire national adjoint à l'Europe
Génard Thierry Conseiller Fédéral
Gilbert Sophie
Girard Ahlem
Girardot Alice, Secrétaire fédéral à l’organisation
Girszonas Saconnet Alexis, membre CA de section (14ème)
Gobin Corinne, 1ère adjointe au Maire d'Amfreville-la-Mivoie. Elue présidente Relais Petite Enfance Plateau Est Rouen.
Gomis Georges Associatif
Goniot Catherine
Goubert Remy, BN Jeunes socialistes
Grelot Regis, Adjoint au Maire Libourne
Guéraud Sébastien, Secrétaire fédéral
Gueydan Ludivine
Gueydan Marie Claire
Guicherd Pierre, Maire-Adjoint de LOMBEZ, Secrétaire de section
Guien Catherine
Guillemin Barbara , Adjointe au maire
Hachet David, militant 87
Hakni-Robin Béatrice, Secrétaire fédérale et de section, adjointe au Maire Rennes
Hallou Solenn, Bureau Fédéral 35
Hamidou Hawa, Mandat électif (mairie)
Hannachi Amani, Adjointe
Harribey Laurence, Senatrice
Havet Kévin, Adjoint au Maire de Paris 18e, 1er fédéral adjoint du PS Paris
Henoc Alex
Henriot Leo
Herbays Francis
Herouin Léautey Florence, Adjointe au Maire de Rouen, Enfance et petite enfance ; Conseillère départementale Rouen-2
Hervochon Freddy, Tresorier section PS d’Herbauges
Hery Matthieu
Huberson Nadia
Hubon Cloé, présidente des Jeunes Européens-Nantes
Hude Jean-Luc, Secrétaire section
Hunault-Dequatremare Justine
Ibalhaoune Yassamine
Inial Marie Christine, Conseillère Municipale Déléguée au logement
Jarycki Éliane
Jegouzo Jean Militant
Jobert Sandrine
Joie Christophe
Joret Philippe, Trésorier de section
Kanner Patrick, Président du groupe socialiste au Sénat
Katz Jean-Claude
Kharfallah Nadia
Kielemoes Dominique, conseillère de Paris
Labaye Elizabeth, Conseillere municipale Rouen, secretariat federal 76
Lacombe Sylvie
Lacôme Christophe, Trésorier section Libourne
Ladouce Marie
Lahary Agned
Lambret Sévillane
Lamin Rosalie
Lanchon Mari Carmen
Lange Constance, Secrétaire de Section Caux-Maritime
Langlois Benedicte, Membres du bureaux Elbeuf
Langlois Renan, SF et CF Seine-Maritime
Lanzi Nathalie
Larsonneur Patricia
Lavie Chrislaine
Le Brozec Monique, Section Rouen grand est
Le Her Anne-Gaëlle
Le Houerou Chantal, Présidente de l'association Saint-Farge'au vert
Le Houérou Annie, Sénatrice
Le Jeune Geneviève
Le Moal Anne
Le Moel Raflik Annaig
Lecerf Gaëlle
Lecompte Philippe, Conseiller municipal de Grand Quevilly
Lecomte Pierre
Léger Rémy
Leher Anne-Gaëlle
Lejoindre Eric, Maire du 18e arrondissement de Paris
Lepage Claudine, Présidente Français du monde-Adfe, ancienne sénatrice
Leroy Christophe
Lesage Julie, Élue locale/ trésorière fédérale
Levarlet Morgan, Conseil fédéral
Lissorgues Antoine, Membre commission fédérale des conflits
Lleduc Jean Marie, ancien député maire de tôtes CM deshaies
Loiseau Philippe, Conseiller des Français de l'étranger, AFE, secrétaire de section,...
Louvel Jean Jacques, Adjoint au maire du Treport
Lustac Annie
Lyons Sylvie
Machap Delaine
Madec Roger
Maillet Corinne, Adjointe au maire
Maïtia Clément
Malleville Marie-Andree, Adjointe culture Ville de Rouen
Mamadou Diallo, conseiller municipal délégué (76) et SN PS en charge de la francophonie
Marie Anabel
Marie Didier, Sénateur et conseiller départemental de Seine-Maritime
Martel Martine
Marut Roland, Adjoint au Maire
Matheron Francoise Maire. Vice présidente CcGrand Pic Saint Loup. conseillère régionale Occitanie
Maurette Carole, Adjointe au Maire Remplaçante Conseillère departementale 09
Mazoyer Raphaël
Megali Théophile, Membre BF Paris
Menede Gilles, adjoint au Maire Paris 18
Mėnestrier Elisabeth
Merabet Allaoua
Merabet Djoude, Maire
Merabet Allaoua
Merlier Christelle, Conseillère municipale
Meunier Karine
Meyer Jérôme, adjoint au Maire Paris 11
Michau Jean-Jacques
Migeon Nicolas
Minger Bryce
Misse Albert, membre actif fdm/adfe
Moinet Arthur, délégué national à l'Europe, BN JS, secrétaire de section et CF (44) ;
Monjean Cédric
Morizio Annick, Première VP du département (87)
Naizet Adrien, Conseiller municipal Rouen
Navarro Thomas
Ndiaye Mamadou , Militant
Nehabetyan Cosette
Nique Gaëlle
Nunes Amandio, ADJOINT AU MAIRE VILLE DE MALAUNAY
Obin Martial, Adjoint maire secrétaire section petit quevilly
Olivier Maud, ancienne députée, membre bureau Assemblée des femmes, VP ECVF
Pallez Laure , Élue des Français de l’étranger aux Etats-Unis
Pane Luce, Maire, membre du conseil fédéral
Panier François , Militant
Panier Annette, Militante
Pannier Edwige
Parelon Julien, BF75
Partida Jorge
Passot Marc-Antoine
Pecek Christiane, trésorière section Berlin-Allemagne du Nord
Penez Jacqueline, Ex conseillère régionale
Peremiquel Agnès
Perret Jacques
Pétel Estelle
Petit Louis
Piednoel Dominique, Secrétaire de section
Pitou Nicole Menbre
Pollet Adeline, Adjointe à Sotteville-les-Rouen
Polski Olivia, Maire-Adjointe Paris
Potenza Baptiste
Poursin Claire
Pradel Julien
Quinio Valérie, Conseillère Municipale
Quiviger Eric
Ragache Alexis, Adjoint au Maire - Conseiller départemental
Rault Nicole
Rasse-Lambrecq Valentin, secrétaire de section, conseiller départemental (76)
Revert Olivier, Président MJC
Ribals Marine
Ridel Elise, Conseillère municipale déléguée à sotteville les Rouen
Rizzi Jean-Pierre
Robert Yvon, Ancien Maire de Rouen, Conseil federal
Rolland Carine Maire-Adjointe Paris
Rosset Marine, Conseillère 5e arrondissement Paris
Rossignol Michel, Secrétaire de Section
Rouch Helene, conseillère municipale (31)
Roy Isabelle
Royer Jerôme, Elu communale, conseiller d'agglomération, 1er FD 16
Sainleger Erevhan
Salaün Gildas, Adjoint à la maire de Nantes
Saliné Elisabeth, Vice-Présidente MJC Mont Gargan Rouen
Schneider Lecomte Sophie
Sebti Cathy, Conseillère municipale déléguée prévention et clspd
Seris Guillaume, Animateur fédéral JS 76
Sinoquet Maryvonne
Sitbon Florian, conseiller de Paris
Slimane Nouredine
Soleilhavoup Pierre, President Cercle Ramadier Provence
Soulier Herleane, Adjointe au maire d’Yvetot
Stockley Cedrick, Elu
Sztejnhorn Israel
Tafforeau Catherine, Adjointe
Taoufiqui Brahim Taoufiqui -
Ternati Karim, adjoint au Maire (76)
Terrasse Philippe
Terrier Frédéric
Thevenot Jean Pierre, Maire et VP EPCI
Thiam Houraye
Thomas Gilles, Conseiller municipal de Bihorel (76)
Tiarci Prijo, Adjoint au maire
Timmerman Jean-François, Conseiller municipal et métropolitain
Timmerman Sylvette
Toka Serge, Adjoint au Maire
Toscani Muriel, Adjointe à la maire de Petit Quevilly
Tougard Claude, Adhérent
Touron Nicolas
Vannier Kévin
Vauchère Caroline, Adjointe au Maire Colomiers
Vauzelle Sarah, Adjointe au maire de Rouen
Venayre Corinne, Directrice Mission Locale
Veneziano Stéphanie, Secrétaire Nationale
Verger Annie
Vilaud Romain, Secrétaire fédéral
Ville Matté
Yakoub Saâdia, Membre de droit du CF et de la CF des Conflits de la FÉDÉ de Paris
Yvon Veronique aucun
Zahler Huguette
Zambrano Patricio
Zana-Victor Jacquelin
Zanchiello Alban, Adjoint au Maire de Montpellier
Zaragoza François, Responsable associatif européen
Zeni Marc
Amsalem Bernard
Andrieu Philippe
Antoine Marine
Barré Gaëlle
Belmokhtar Ouarda
Candido Suzy
Coutelet Maxime
Dieudonné Marion
Hérouin Léautey
Hummphrey James
Moine Philippe
Pannier Edwige
Parent Guillaume
Quinio Valérie
Teixeira Oriane
Têtenoire Eugenie
Viguer Simon
Xavier Martin
Abdourazakou Niswat
Aichoun Baptiste Bérangère