Le 17 mai 1990, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) retirait l’homosexualité de sa liste des maladies mentales. C’était il y a 32 ans à peine. Grâce à la mobilisation de nombreuses associations, le 17 mai est devenu la journée mondiale contre l'homophobie, la transphobie et la biphobie.
Le Parti socialiste tenait à profiter de cette journée pour rappeler son engagement aux côtés des personnes LGBTQI+.
Des droits fondamentaux ont été acquis sous des mandatures socialistes. Nous avons dépénalisé l’homosexualité avec François Mitterrand, instauré le Pacs avec Lionel Jospin, et permis le mariage pour tous avec François Hollande.
Fidèle à nos convictions, nos parlementaires ont continué la lutte au cours de la législature, en proposant notamment une loi contre les thérapies de conversion. Le Code pénal réprime désormais « les pratiques, les comportements ou les propos répétés visant à modifier ou à réprimer l’orientation sexuelle ou l’identité de genre, vraie ou supposée, d’une personne et ayant pour effet une altération de sa santé physique ou mentale ».
À travers la NUPES, le Parti socialiste continuera de soutenir les luttes LGBTQI+.
🏳️🌈 En cette journée mondiale contre l'homophobie, la transphobie et la biphobie, rappelons la nécessité de poursuivre le long combat pour l'égalité des droits.
— Parti socialiste (@partisocialiste) May 17, 2022
Battons-nous pour en finir avec les discriminations qui touchent les personnes LGBTI+.#IDAHOT2022 pic.twitter.com/fxSEIa0ten
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