La santé


Thème : Santé


Rénover le système de santé au niveau national

Pour le remédier au mieux sur le besoin des patients qui ont un physique normalisé par la société et ceux ayant un physique atteint d’un handicap.

Renforcer nos valeurs, nos ambitions. Maintenir nos rêves en réalisant nos objectifs.

Notre priorité de sociaux démocrates doit se focaliser sur la mobilisation de nos valeurs concernant la santé tant sur le plan individuel que collectif.

 

●     Santé publique

En termes de santé publique, le fait de lever les obstacles financiers à l'accès aux soins permettra un réel progrès considérable pour l'accès aux soins de ces deux catégories de compatriotes. Qui si par malheur, dans leurs parcours de vie deviennent pauvre basculent dans une pathologie et deviennent des patients ayant atteints des maladies chronique.

La relation aux soins se détériore et c'est souvent des patients dans un état de santé précaire et qui vivent aussi très souvent sur les territoires en hausse du désert médical.

Notre engagement en tant que responsable politique qui aspire à gouverner, notre rôle de protecteur envers nos compatriotes sur leur bien-être physique, morale et financier. Nous obligent à veiller sur eux et de se doter d'une capacité indestructible pour améliorer leurs conditions de vie, car très souvent ces patients entre autre ont des difficultés à l'accès à l'emploie.

C'est pour toutes ses raisons que cet obstacle doit être levé impérativement pour permettre "le non-renoncement aux soins" sur les soins primaires.

Notre système de santé a été mis à l’épreuve lors de la pandémie du Covid 19 et cette crise a mis en évidence les difficultés particulières démontrant que les personnes en situation de handicap sont les plus exposées. Ce n’est pas à cause d’une mauvaise organisation de notre pays, mais certainement à cause de la faiblesse structurelle du système de santé. De plus, la crise a ressorti l’absence d’une stratégie mieux pensée et l’absence de liens entre les foyers de vie et l’hôpital.

Une politique de renforcement sur la prise en charge des personnes en situation de handicap, nécessite de revoir un mode de gestion politique responsabilisant de la part des établissements.

Reconnaître l’évolution en la médecine peut nous rassurer, en forme de proposition d’une meilleure santé.

Pour faire évoluer le système de santé actuel et éviter l’augmentation des inégalités, travaillons profondément sur l’application à utiliser les leviers des contrats responsables, en veillant sur une meilleure prise en charge adaptée.

Par exemple en maternité, pour les femmes en situation de handicap souhaitant devenir mère et dans les services en santé mentale. Tout en réalisant une profonde révolution dans différents domaines.

Mieux informer en misant sur la prévention, à la promotion à l’éducation pour la santé, la santé sexuelle et reproductive, par la création des centres d’écoute et de santé , afin de renforcer l’accès dans les maternités ayant des équipes adéquates pour recevoir les femmes en situation de handicap et tout venant mettre en exergue les soins de proximité et asseoir ainsi notre volonté utopique dans tous les territoires.

La prise en compte des besoins de la population en matière d’accès aux soins, nous indique qu’il est nécessaire que chaque collectivité territoriale se mobilise pour défendre une meilleure prise en charge des actions de santé dans toute la France en se fixant les objectifs qui leur permettent d’être les premiers en acteurs de santé.

Nous sociaux démocrates, nous prioriserons la mise en place des réformes.

 

●    Politique et législation

Concernant les personnes en situation de handicap « comme dans beaucoup de domaines ».

Poser un diagnostic permettant une identification des femmes en situation de handicap qui ont des besoins au regard de la politique des services des maternités.

Faire les statistiques sur les maternités en recueillant les données concernant le nombre d’accouchements et le type de handicap, pour réduire les inégalités dans la fonction d’être mère, si elles le souhaitent.

Dans la politique de l’élaboration de la stratégie nationale de santé et du programme « ma santé 2022 », révisons au plus vite ce dispositif afin d’éviter l’immobilisme au risque de se retrouver face aux contraintes de financement puisque le gouvernement ne donne plus l’impression d’en être une priorité.

L’augmentation de salaires des professionnels de santé qui est passée par sa revalorisation à travers le SEGUR qui ne permet pas une vision claire. Il est donc nécessaire de repenser la gouvernance de l’Hôpital, parce le SEGUR n’a pas permis l’aménagement des équipements, des services des hôpitaux. Exemple : dans les maternités disposer d’un équipement adéquat pour accueillir les femmes en situation de handicap dans les meilleures conditions.

Sans perspective, le SEGUR n’a pas favorisé la nécessité de simplifier notre système de santé et également notre système économique de gestion actuel de l’hôpital.

La transformation de prestation de service nous permettra de veiller à la mise en place de santé efficace intégrant une vraie promotion de santé, les actions de prévention, un bon traitement, la réadaptation et les soins palliatifs.

Hiérarchiser les besoins environnementaux, et les communiquer à grande échelle aux français par le biais d’informations de santé publique

Définir et adapter le développement de soi, en fonction des besoins individuels.

Notre rôle et notre ambition doivent se reposer sur la mise en œuvre des technologies numériques dans tous les hôpitaux et centres de santé, en renforçant le lien entre l’hôpital et la ville.

Dégorger les urgences, faire preuve d’une bonne prise en compte des besoins de santé immédiat et éviter le gaspillage d’argent public, grâce à une meilleure orientation des patients.

Notre réflexion doit nous conduire à résoudre des difficultés et lutter pour sortir de cette impuissance face à des inégalités d’accès à la santé, lorsque nous serons aux responsabilités

 

●     Pour remédier aux inégalités de notre système de santé

 Il faut mettre en place un programme nation d’action à l’accès à la maternité pour les femmes en situation de handicap.

Faciliter les démarches pour la mise en place des centres de santé, les maisons de naissance.

Reconstruire une relation de confiance avec les professionnels de santé de ville et l’hôpital, pour mieux coordonner et mieux intégrer les patients dans leurs pratiques.

Nous les sociaux démocrates, nos objectifs doivent être la mise en place de débats publics sur l’environnement santé et les faire figurer dans la loi de financement de la sécurité sociale (LFSS).

Agissons sur la dégradation des soins de qualité en proximité pour améliorer l’accès aux soins dans les spécialités. Par exemple : optique, dentaire, ophtalmo … parce qu’on observe actuellement ce phénomène dans les zones urbaines non plus seulement dans des territoires ruraux.

Mettre en évidence, une stratégie politique pour améliorer un maintien de ces soins.

Les sociaux-démocrates doivent s’obliger à faire évoluer la transformation de l’organisation de la médecine de villes en développant les formules coopératives hors murs comme les équipes de soins primaires (ESP) et étendre des communautés professionnelles de santé (CPTS) dans chaque territoire en leur apportant un soutien indéfectible en termes de moyens humains et financiers.

Former les professionnels de santé en soins généraux et en soins psychologiques pour un meilleur accompagnement des patients.

Former des professionnels spécialisés à l’accompagnement des personnes en situation de handicap.

 

●     Formation des médecins et service public des soins de proximité.

Nous veillerons à des moyens supplémentaires pour les facultés afin qu’elles puissent former des médecins en nombre suffisant et stopper ainsi l’inexorable progression des déserts médicaux. C’est aussi par un véritable service public de soins de proximité autour des centres de santé, permettant un travail d’équipe, tout en assurant des permanences dans des zones peu peuplées, des réels moyens pour accueillir des jeunes médecins et une gestion des hôpitaux respectant l’éthique des soignants et la dignité des patients que nous socialistes, permettrons une politique publique de santé à la hauteur des attentes des soignants et de la population.

La formation des médecins mérite des reformes très importantes. Par exemple : inciter les futurs médecins pour une orientation vers la spécialité gynécologie parce que cette pénurie empêche un meilleur accueil des nouveaux nées dans notre pays.

 

Le programme de formation des médecins doit faire un projet concret pour les jeunes médecins. Ils doivent effectuer des remplacements dans des maisons de naissance et il faut ajouter dans ce cursus initial un volet Handicap pour l’esprit de projection sur la qualité de prise en charge.

Les services de santé doivent être armés de professionnels ayant les compétences et un engagement prononcé. Et cela afin de renouveler leurs pratiques et l’organisation des activités.

 

●    Engagement politique 

Notre engagement politique sur la santé doit nous permettre de développer d’avantage ces nouvelles compétences comme celles qui existent dans d’autres pays. Par exemple, les infirmières de pratiques avancées et le Diplôme Universitaire de plaie et cicatrisation… Bien qu’il y ait des initiatives intégrées dans les universités.

Organiser des recrutements de professionnels adéquats et confiants face aux individus reçus avec leurs différences.

Revoir le cadre de travail des professionnels de santé qui est très contraignant pour leur vie privée, c’est pourquoi nous devons développer des techniques médicales et la numérisation des activités de santé.

De manière générale, en matière de ressources humaines, il faut une remise à plat des systèmes de rémunération en ville et à l’hôpital pour lutter contre les inégalités entre les professionnels, en révisant encore au mieux la classification des actes médicaux.

Faciliter la liberté de choix des pratiques hospitalières, de diversifier les parcours et leurs permettre la répartition d’un temps de travail.

Données et recherche :

Trier les données en fonction du handicap.

Impliquer les personnes en situation de handicap dans la surveillance des soins de santé.

Conduire suffisamment de recherches sur les besoins et les résultats sanitaires des personnes en situation de handicap, ainsi que sur les obstacles auxquels ils se heurtent.

Malgré la politique de recherche déployée dans le pays, les moyens financiers nécessitent une attention particulière pour être également dans les meilleurs rangs des pays développés.

Pour marquer notre ambition nous devons mettre bien évidement des efforts sur les professionnels médicaux et psychologiques, les professions paramédicales existants ou à créer, développons des champs de compétence, délégation de tâches, responsabilité, travail en équipe pluridisciplinaire en matière de démographie médicale pour mettre en œuvre des réformes structurelles pérennes.

D’autres objectifs des sociaux-démocrates, doivent également se tourner vers une réflexion globale, sur les déterminants (sociaux, géographiques, professionnels, culturels) des inégalités de santé pour y remédier totalement.

●    Le maintien à domicile 

Le « bien vieillir » : En aidant efficacement le maintien à domicile et pour cela il faut revaloriser le salaire des intervenants para médicaux et aider les associations spécialisées dans l’accompagnement et les soins à domicile ainsi que les collectivités dont c’est la compétence.

Pour le maintien de le lien social de nos aînés, afin de lutter contre leur isolement social car l’isolement est un facteur à risque important de perte d’autonomie et éviter les difficultés qu’ils ont se déplacer nous veillerons à la mise en place de moyens efficaces. De même en leur permettant de s’initier aux nouvelles technologies.

L’aide à domicile accomplit un travail matériel, moral, sanitaire et social essentiel.

 

●    L’aidant

 L’aidant joue un rôle primordial dans le maintien à domicile. Il faudra veiller à ce qu’il puisse bénéficier d’un droit à l’affiliation gratuite à l’assurance vieillesse du régime général, un droit à la formation, au congé de solidarité familiale, un congé du proche aidant, un droit à rémunération ou à dédommagement. Bien souvent, l’aidant est seul et il a besoin d’accompagnement. Pour éviter son épuisement il faudra mettre en place, pour lui, des phases de répit, afin qu’il soit en mesure de poursuivre sa mission car il est un acteur indispensable du maintien au domicile.


Premiers signataires :

Grâce MPONDO 60 : Ancienne Elue/ Au niveau national x Membre : CN/ Suppléante x CESEC : Membre du bureau / Présidente du groupe Démocratie Europe International.

Au niveau départemental x Membre du bureau fédéral Titulaire Conseil fédéral Au niveau local x Membre du bureau / CA.

Madeleine BRUN 84 : Au niveau national x Membre du CNC : Titulaire

x CESEC : Membre bureau Au niveau départemental x DDEN

Maryse FLORES 08 : Au niveau départemental x : Membre du bureau / Secrétaire Fédéral à la culture. Au niveau local x Membre : CA x CA comité défense hôpitaux

Nicole DERRIENNE 08 x Infirmière x Militant

Jean-François DERRIENNE 08 : Infirmier x Militant


 

 

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